Saturday, September 25, 2010


Vaccin

grippe A : Réactions enregistrées dans certains articles.


1) 49 réactions

graves depuis le début de la campagne (18 décembre 2009)

Depuis le début de la campagne de vaccination, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a relevé 1315 cas d'effets indésirables après administration du vaccin contre la grippe A. Parmi ces cas, 49 réactions ont été jugées "graves", dont 41 pour le vaccin adjuvanté Pandemrix®, le plus utilisé, et 8 pour le vaccin sans adjuvant Panenza®, réservé aux femmes enceintes et enfants de moins de 9 ans. Au total, près de 4 millions de Français ont déjà été vaccinés. L'Afssaps estime donc que les réactions indésirables enregistrées ne remettent pas en cause la balance bénéfice-risque de ces vaccins grippaux.

Parmi les réactions graves, quatre ont été observées chez des enfants dont deux pour le Pandemrix® et deux pour le Panenza®. Un de ces enfants, âgé de 9 ans est décédé quatre jours après sa vaccination. L'enfant était fragile et avait déjà été hospitalisé plusieurs fois. Une autopsie a été réalisée mais les investigations sont toujours en cours, les résultats seront vraisemblablement connus en début de semaine prochaine. Pour l'instant, aucun élément ne permet de penser que la mort de l'enfant soit liée à sa vaccination.

Une attention particulière est par ailleurs portée sur les femmes enceintes. Au total, cinq femmes ont perdu leur enfant suite à la vaccination, dont trois avec Pandemrix® et deux avec Panenza®. L'Afssaps a rappelé qu'en dehors de toute vaccination, la fréquence des décès intra-utérins est de 4 pour 1 000 naissances, et 20 % de fausses couches spontanées sont observées chez les femmes enceintes. Par ailleurs, un millier de femmes enceintes vaccinées ont participé à un suivi particulier mis en place par l'agence sanitaire. Aucune complication n'a été signalée dans ce groupe.

2) Grippe H1N1: 5 millions de personnes vaccinées, 2600 effets indésirables. (31 décembre 2009)

PARIS — Quelque 5 millions de personnes ont été vaccinées contre la grippe H1N1 entre le 21 octobre, début de la campagne de vaccination, et le 27 décembre, avec quelque 2.600 effets indésirables et deux décès pour lesquels un lien avec le vaccin n'a pas été retenu, selon l'Afssaps.

Les vaccins administrés sont essentiellement le Pandemrix (GSK, avec adjuvant, 3,7 millions de doses) et le Panenza (Sanofi-Pasteur, sans adjuvant, 1,4 million de doses), rappelle l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) dans son suivi hebdomadaire de pharmacovigilance.

Le Focetria (Novartis, avec adjuvant) et le Celvapan (Baxter, produit par culture cellulaire et sans adjuvant), ont été administrés à quelques milliers de doses.

Pour le Pandemrix, 2.390 effets indésirables (6,4 pour 10.000) ont été signalés depuis le début de la campagne, dont 83 graves (27 au cours de la dernière semaine). De ces 27, 12 cas graves sont en lien avec le vaccin : crise d'épilepsie chez un patient ayant des antécédents, problèmes respiratoires chez un patient obèse, malaise et crises convulsives chez un adolescent de 15 ans, 2 cas de gêne respiratoire chez des enfants...

Parmi les observations graves pour lesquelles un lien avec le vaccin n'a pas été retenu, deux décès sont intervenus chez des patients âgés souffrant l'un de "lourds antécédents cardiovasculaires" et l'autre d'antécédents neurologiques avec complications infectieuses.

Les autres effets secondaires étaient d'intensité bénigne à modérée : douleurs ou inflammations au site d'injection, fourmillements ou picotements, nausées, fièvre ou maux de tête...

Pour le Panenza, 258 effets indésirables (1,8 pour 10.000) ont été notifiés depuis le début de la vaccination avec ce vaccin. 11 des 31 cas graves sont intervenus depuis la dernière semaine, notamment chez des femmes enceintes, avec 3 morts intra-utérines (8 tous vaccins confondus depuis le début de la campagne). Des investigations sont en cours.

Cinq cas de fausse couche spontanée ont aussi été signalés depuis le début de la campagne, dont un survenu 1h30 après vaccination avec le Focetria, suite à un choc anaphylactique.

L'Afssaps rappelle la fréquence relative des morts intra-utérines et des fausses couches et estime qu'"aucune donnée ne permet de relier ces événements à la vaccination".

Au total, pour l'Afssaps, l'analyse des signalements "ne remet pas en cause la balance bénéfice-risque des vaccins".


Comme nous pouvons le voir à travers ces deux articles séparés de quelques mois, il n'est pas évident de connaitre le nombre de cas ou les patients ont eu de graves séquelles suites au vaccin. Pourquoi? Deux raisons principales. La première est que ces données ne sont pas souhaitées être dévoilé par les sociétés pharmaceutiques. Elles jouent donc de tout leur poids et usent et abusent de leur puissance lobbyiste pour imposer un status quo sur les conséquences dû et les problèmes liés au vaccin.

Dans un second temps, ces entreprises ainsi que les gouvernements qui les protègent demandent des tests très poussé et confirmé par ces mêmes compagnies sur chaque évènement dramatique. En effet, il est nécessaire de faire de long test pour être sûr qu'un vaccin puisse être la cause directe d'un trouble. Mais cette "longue pèriode de test" aurait dû être réalisé par les Sanofi et autre Baxter avant même de mettre ces vaccins sur le marché. La procédure normale nécessite 10 ans de recherches et d'études avant de pouvoir commencer à mettre ce genre de produits en circulation. On a pu remarquer qu'entre la découverte de la nouvelle souche H1N1 et la mise en commercialisation du vaccin, à peine 1 an se sont écoulés! Comment est-ce possible? Qui a autorisé ces vaccins à être commercialisé sans plus de test? L'OMS a été l'organe institutionnel qui a le plus largement défendu les "bénéfices" de ce vaccin malgré le manque d'information sur le sujet. On s'étonnera d'ailleurs de surprendre ce même organe se prononcé pour la mise en terre de culture transgénique alors même que les tests sur ces semences révèlent de graves contamination des autres cultures, voir même de la santé des consommateurs..

Une chose est sûre, la vérité est dissimulée et nous ne pouvons toujours pas, deux ans après, avoir un recul sur les conséquences de la Grippe A et de son vaccin étant donné le peu d'information accessible et surtout recherchée.

Et puis, au détour d'un article, dans la même pèriode que pouvons nous lire?

3) Pandemrix, le vaccin 1000 fois plus dangereux que la grippe A

Il convient aujourd’hui de compléter notre effort de prévention en pointant du doigt un vaccin précis, particulièrement suspect : le Pandemrix, fabriqué et commercialisé par le laboratoire anglais GlaxoSmithKline (GSK
) et acheté à quelques millions de doses par cette bonne Roselyne Bachelot, avec l’argent de la Sécu.

Premier élément, Revoltes.net s’est appliqué à comparer les données européennes et françaises et conclut dans un billet titré Pandemrix : vaccin-miracle ou sérieux problèmes de pharmacovigilance ? Extrait : "Sur 860 000 vaccinations en France, on aurait dû s’attendre à "8,6" notifications de décès dans les heures suivant l’injection, si tout se passait comme ailleurs en Europe. Mais ce n’est pas le cas. Non seulement les frontières hexagonales arrêtent les nuages radioactifs et retiennent les virus quand ils disparaissent ailleurs, mais en plus les virus sont ici bien moins méchants que chez nos voisins : il n’y a eu qu’un décès notifié en France, et c’était une "mort naturelle", donc sans lien avec le vaccin."

Voilà donc que le risque lié au Pandemrix est étouffé en France. Pire : on a sciemment menti aux parents pour les inciter à faire piquer leurs enfants. Le formulaire d’autorisation parentale comporte en effet noir sur blanc le passage suivant : "Cette vaccination n’est pas obligatoire mais est fortement conseillée. Elle est proposée uniquement avec des vaccins ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM), - dans les mêmes conditions de sécurité que celles appliquées pour l’utilisation des autres vaccins -. Les études cliniques et l’évaluation de ces vaccins ont été réalisées conformément aux exigences habituelles requises pour les médicaments et les vaccins." Pur mensonge en vérité, témoin la notice du Pandemrix elle-même ci-dessous.

notice

Mais peut-on chiffrer ce risque qu’on tente à toute force de camoufler ? C’est le docteur Marc Girard, spécialiste de pharmaco-épidémiologie n’ayant cessé de protester des conditions dans lesquels les vaccins anti-grippe A avaient été hâtivement conçus et autorisés, qui s’y colle sur son blog : "Même en faisant le forcing (et en attribuant systématiquement à la grippe les décès potentiellement liés à Tamiflu), l’administration sanitaire décompte actuellement environ 120 décès, soit une mortalité maximum de 2 pour un million. En parallèle, l’Agence européenne se félicite que les essais réalisés lors du développement permettent de reconnaître (et même pas d’exclure) les effets indésirables survenant à une fréquence minimum de 1% (source). En parallèle, encore, on relève que la mortalité observée au cours du développement de Pandemrix a été de 0,3 à 0,4% (7 morts inexpliqués chez environ 2 000 patients traités). De plus, il faut bien comprendre que la grande majorité des sujets actuellement répertoriés comme décédés de la grippe avaient d’important facteurs de fragilité, alors qu’il suffit de lire les documents de l’Agence européenne pour apercevoir que les sujets décédés après vaccination étaient initialement en parfaite santé : tout un chacun, quoi. Il est donc extrêmement modéré de soutenir qu’à l’heure actuelle, sur la base des données « incomplètes » mais disponibles, le risque lié au vaccin peut être mille fois plus élevé que le risque de la grippe. D’autre part et au contraire de ce que soutient comme prévu l’administration sanitaire, les données de la pharmacovigilance après commercialisation sont loin d’être rassurantes, compte tenu de la sous-notification habituellement massive (moins de 1% des accidents notifiés), délibérément exacerbée en l’espèce par les autorités qui s’appliquent à créer un sanitairement correct visant à dissuader les vaccinateurs de notifier (voir ici). On a connu exactement la même situation avec le vaccin contre l’hépatite B – avec les résultats que l’on sait…"

Bon, là encore les articles dénichés font froid dans le dos, d'autant que ceux-ci s'appuient sur des constats et des études que ni les gouvèrnements ni les pharmaceutiques ne semblent prendre en considération.


Source :
Suivi de pharmacovigilance des vaccins grippaux A (H1N1), Afssaps - 17 décembre 2009

Données AFP

Les OGM peuvent t-il être dangeureux

Pandemrix le vaccin 1000 fois plus dangeureux que

Friday, September 24, 2010

Julien Dray : un petit air de Woerth?

Lien vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=wKle9mF8G4g&feature=player_embedded

Julien Dray, Master en Sciences économiques, membre du parti socialiste, un des fondateurs du mouvement SOS Racisme. Il a un mandat en ce moment de vice-président du conseil régional d'Île-de-France chargé de la culture.
Dans les années 90, Il a était entendu dans l'affaire de la MNEF concernant des emplois fictifs et un enrichissement personnel de ses dirigeants.
Il a récemment fait l'objet d'un "rappel à la loi" quand au fait d'avoir utilisé un chèque de l'association des parrains de SOS racisme pour s'offrir une montre à 7000 euros.

Malgré le fait d'être incollable sur les montres dont le prix dépasse les 150,000 euros et de porter des montres dont la valeur fait au moins 7000 euros, Julien Dray nous rappelle au micro d'Europe 1 :
"Moi, je vis dans le 20ème arrondissement dans un quartier populaire, je roule en Clio, ma femme a une voiture depuis 11 ans, je vais toujours au même endroit en vacances à Vallauris dans aucun endroit exotique et tout ceux qui me connaissent savent, me disent souvent que je suis plutôt mal habillé."

Sunday, September 5, 2010

SIDA : Luc Montagnier "On peut se débarrasser du SIDA naturellement, sans médicaments"

Lien vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xbru8n_luc-montagnier-retourne-sa-veste_news

Interview de Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour sa découverte du virus agent du SIDA.  

Transcription de l'interview :

Brent Leung : Vous avez parlé du stress oxydatif plus tôt, est-ce que traiter le stress oxydatif est l'une des meilleures façons de s'occuper de l'épidémie africaine du SIDA?

Luc Montagnier : Je crois que c'est une des façons de l'aborder. Pour diminuer le taux de transmission, parce que je crois que le VIH, on peut y être exposé plusieurs fois sans être infecté de façon chronique. Notre système immunitaire se débarrassera du virus en quelques semaines, si vous avez un bon système immunitaire. Et c'est cela aussi le problème des africains. Leur nourriture n'est pas équilibrée, ils sont dans un stress oxydatif, même s'ils ne sont pas infectés par le VIH. Donc leur système immunitaire fonctionne déjà pas bien. Donc il est prédisposé, il peut permettre au VIH d'entrer et de persister. Donc il y a plusieurs solutions qui ne sont pas le vaccin, le mot magique, le vaccin. De nombreuses solutions pour réduire la transmission juste par de simples mesures de nutrition, en donnant les bons oxydants, des mesures d'hygiènes et en combattant les autres infections. Les mesures ne sont pas spectaculaires mais elles peuvent réduire très bien l'épidémie aux niveaux auxquels ils sont dans les pays occidentaux.

Brent Leung : Si vous avez un bon système immunitaire, alors votre corps peut naturellement se débarasser du VIH?

Luc Montagnier : Yes.

Brent Leung : Pensez-vous que nous devons avoir plus d'insistance pour les antioxydants, et des choses de cette nature en Afrique, plutôt que les antirétroviraux.

Luc Montagnier : Nous devons insister vers plus de combinaison de mesures : antioxydants, conseil en nutrition, nutritions, lutter contre les autres infections : la malaria, la tuberculose, les parasites, les champignons, les vers, l'éducation bien sûr, l'hygiène génitale pour les femmes et les hommes. Des mesures très simples qui ne sont pas très coûteuses mais qui peuvent faire beaucoup. Et en fait je m'inquiète de nombreuses et spectaculaires actions pour des fonds globaux, pour acheter des médicaments etc; et Bills Gates etc, pour un vaccin ... Mais vous savez, ces genres de mesure ne sont pas bien financées, pas du tout financées ou elles sont, cela dépend du gouvernement local de faire le choix pour ça. Mais les gouvernements locaux prennent leurs conseils de conseillers scientifiques des diverses institutions et ils ne reçoivent pas ce genre de conseil très souvent.

Brent Leung : Il n'y a pas d'argent à se faire dans la nutrition, c'est ça? Il n'y a pas de profit à faire.

Luc Montagnier : Oui, il n'y a pas de profit à en tirer. L'eau est importante. L'eau est la clé.

Brent Leung : A présent une chose que vous avez dites, vous étiez entrain de parler du fait que si vous avez un système immunitaire solide, il est possible de se débarrasser du VIH / SIDA naturellement. Si vous prenez un africain pauvre qui a été infecté et vous renforcez leurs systèmes immunitaires, est-il possible pour eux de s'en débarrasser?

Luc Montagnier : Je le pense.

Brent Leung : C'est important.

Luc Montagnier : C'est une connaissance importante qui est complètement négligée. Les gens pensent toujours aux médicaments et aux vaccins. Donc ceci est un message qui peut être différent de ce que avez entendu précédemment, non?