Saturday, September 25, 2010


Vaccin

grippe A : Réactions enregistrées dans certains articles.


1) 49 réactions

graves depuis le début de la campagne (18 décembre 2009)

Depuis le début de la campagne de vaccination, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a relevé 1315 cas d'effets indésirables après administration du vaccin contre la grippe A. Parmi ces cas, 49 réactions ont été jugées "graves", dont 41 pour le vaccin adjuvanté Pandemrix®, le plus utilisé, et 8 pour le vaccin sans adjuvant Panenza®, réservé aux femmes enceintes et enfants de moins de 9 ans. Au total, près de 4 millions de Français ont déjà été vaccinés. L'Afssaps estime donc que les réactions indésirables enregistrées ne remettent pas en cause la balance bénéfice-risque de ces vaccins grippaux.

Parmi les réactions graves, quatre ont été observées chez des enfants dont deux pour le Pandemrix® et deux pour le Panenza®. Un de ces enfants, âgé de 9 ans est décédé quatre jours après sa vaccination. L'enfant était fragile et avait déjà été hospitalisé plusieurs fois. Une autopsie a été réalisée mais les investigations sont toujours en cours, les résultats seront vraisemblablement connus en début de semaine prochaine. Pour l'instant, aucun élément ne permet de penser que la mort de l'enfant soit liée à sa vaccination.

Une attention particulière est par ailleurs portée sur les femmes enceintes. Au total, cinq femmes ont perdu leur enfant suite à la vaccination, dont trois avec Pandemrix® et deux avec Panenza®. L'Afssaps a rappelé qu'en dehors de toute vaccination, la fréquence des décès intra-utérins est de 4 pour 1 000 naissances, et 20 % de fausses couches spontanées sont observées chez les femmes enceintes. Par ailleurs, un millier de femmes enceintes vaccinées ont participé à un suivi particulier mis en place par l'agence sanitaire. Aucune complication n'a été signalée dans ce groupe.

2) Grippe H1N1: 5 millions de personnes vaccinées, 2600 effets indésirables. (31 décembre 2009)

PARIS — Quelque 5 millions de personnes ont été vaccinées contre la grippe H1N1 entre le 21 octobre, début de la campagne de vaccination, et le 27 décembre, avec quelque 2.600 effets indésirables et deux décès pour lesquels un lien avec le vaccin n'a pas été retenu, selon l'Afssaps.

Les vaccins administrés sont essentiellement le Pandemrix (GSK, avec adjuvant, 3,7 millions de doses) et le Panenza (Sanofi-Pasteur, sans adjuvant, 1,4 million de doses), rappelle l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) dans son suivi hebdomadaire de pharmacovigilance.

Le Focetria (Novartis, avec adjuvant) et le Celvapan (Baxter, produit par culture cellulaire et sans adjuvant), ont été administrés à quelques milliers de doses.

Pour le Pandemrix, 2.390 effets indésirables (6,4 pour 10.000) ont été signalés depuis le début de la campagne, dont 83 graves (27 au cours de la dernière semaine). De ces 27, 12 cas graves sont en lien avec le vaccin : crise d'épilepsie chez un patient ayant des antécédents, problèmes respiratoires chez un patient obèse, malaise et crises convulsives chez un adolescent de 15 ans, 2 cas de gêne respiratoire chez des enfants...

Parmi les observations graves pour lesquelles un lien avec le vaccin n'a pas été retenu, deux décès sont intervenus chez des patients âgés souffrant l'un de "lourds antécédents cardiovasculaires" et l'autre d'antécédents neurologiques avec complications infectieuses.

Les autres effets secondaires étaient d'intensité bénigne à modérée : douleurs ou inflammations au site d'injection, fourmillements ou picotements, nausées, fièvre ou maux de tête...

Pour le Panenza, 258 effets indésirables (1,8 pour 10.000) ont été notifiés depuis le début de la vaccination avec ce vaccin. 11 des 31 cas graves sont intervenus depuis la dernière semaine, notamment chez des femmes enceintes, avec 3 morts intra-utérines (8 tous vaccins confondus depuis le début de la campagne). Des investigations sont en cours.

Cinq cas de fausse couche spontanée ont aussi été signalés depuis le début de la campagne, dont un survenu 1h30 après vaccination avec le Focetria, suite à un choc anaphylactique.

L'Afssaps rappelle la fréquence relative des morts intra-utérines et des fausses couches et estime qu'"aucune donnée ne permet de relier ces événements à la vaccination".

Au total, pour l'Afssaps, l'analyse des signalements "ne remet pas en cause la balance bénéfice-risque des vaccins".


Comme nous pouvons le voir à travers ces deux articles séparés de quelques mois, il n'est pas évident de connaitre le nombre de cas ou les patients ont eu de graves séquelles suites au vaccin. Pourquoi? Deux raisons principales. La première est que ces données ne sont pas souhaitées être dévoilé par les sociétés pharmaceutiques. Elles jouent donc de tout leur poids et usent et abusent de leur puissance lobbyiste pour imposer un status quo sur les conséquences dû et les problèmes liés au vaccin.

Dans un second temps, ces entreprises ainsi que les gouvernements qui les protègent demandent des tests très poussé et confirmé par ces mêmes compagnies sur chaque évènement dramatique. En effet, il est nécessaire de faire de long test pour être sûr qu'un vaccin puisse être la cause directe d'un trouble. Mais cette "longue pèriode de test" aurait dû être réalisé par les Sanofi et autre Baxter avant même de mettre ces vaccins sur le marché. La procédure normale nécessite 10 ans de recherches et d'études avant de pouvoir commencer à mettre ce genre de produits en circulation. On a pu remarquer qu'entre la découverte de la nouvelle souche H1N1 et la mise en commercialisation du vaccin, à peine 1 an se sont écoulés! Comment est-ce possible? Qui a autorisé ces vaccins à être commercialisé sans plus de test? L'OMS a été l'organe institutionnel qui a le plus largement défendu les "bénéfices" de ce vaccin malgré le manque d'information sur le sujet. On s'étonnera d'ailleurs de surprendre ce même organe se prononcé pour la mise en terre de culture transgénique alors même que les tests sur ces semences révèlent de graves contamination des autres cultures, voir même de la santé des consommateurs..

Une chose est sûre, la vérité est dissimulée et nous ne pouvons toujours pas, deux ans après, avoir un recul sur les conséquences de la Grippe A et de son vaccin étant donné le peu d'information accessible et surtout recherchée.

Et puis, au détour d'un article, dans la même pèriode que pouvons nous lire?

3) Pandemrix, le vaccin 1000 fois plus dangereux que la grippe A

Il convient aujourd’hui de compléter notre effort de prévention en pointant du doigt un vaccin précis, particulièrement suspect : le Pandemrix, fabriqué et commercialisé par le laboratoire anglais GlaxoSmithKline (GSK
) et acheté à quelques millions de doses par cette bonne Roselyne Bachelot, avec l’argent de la Sécu.

Premier élément, Revoltes.net s’est appliqué à comparer les données européennes et françaises et conclut dans un billet titré Pandemrix : vaccin-miracle ou sérieux problèmes de pharmacovigilance ? Extrait : "Sur 860 000 vaccinations en France, on aurait dû s’attendre à "8,6" notifications de décès dans les heures suivant l’injection, si tout se passait comme ailleurs en Europe. Mais ce n’est pas le cas. Non seulement les frontières hexagonales arrêtent les nuages radioactifs et retiennent les virus quand ils disparaissent ailleurs, mais en plus les virus sont ici bien moins méchants que chez nos voisins : il n’y a eu qu’un décès notifié en France, et c’était une "mort naturelle", donc sans lien avec le vaccin."

Voilà donc que le risque lié au Pandemrix est étouffé en France. Pire : on a sciemment menti aux parents pour les inciter à faire piquer leurs enfants. Le formulaire d’autorisation parentale comporte en effet noir sur blanc le passage suivant : "Cette vaccination n’est pas obligatoire mais est fortement conseillée. Elle est proposée uniquement avec des vaccins ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM), - dans les mêmes conditions de sécurité que celles appliquées pour l’utilisation des autres vaccins -. Les études cliniques et l’évaluation de ces vaccins ont été réalisées conformément aux exigences habituelles requises pour les médicaments et les vaccins." Pur mensonge en vérité, témoin la notice du Pandemrix elle-même ci-dessous.

notice

Mais peut-on chiffrer ce risque qu’on tente à toute force de camoufler ? C’est le docteur Marc Girard, spécialiste de pharmaco-épidémiologie n’ayant cessé de protester des conditions dans lesquels les vaccins anti-grippe A avaient été hâtivement conçus et autorisés, qui s’y colle sur son blog : "Même en faisant le forcing (et en attribuant systématiquement à la grippe les décès potentiellement liés à Tamiflu), l’administration sanitaire décompte actuellement environ 120 décès, soit une mortalité maximum de 2 pour un million. En parallèle, l’Agence européenne se félicite que les essais réalisés lors du développement permettent de reconnaître (et même pas d’exclure) les effets indésirables survenant à une fréquence minimum de 1% (source). En parallèle, encore, on relève que la mortalité observée au cours du développement de Pandemrix a été de 0,3 à 0,4% (7 morts inexpliqués chez environ 2 000 patients traités). De plus, il faut bien comprendre que la grande majorité des sujets actuellement répertoriés comme décédés de la grippe avaient d’important facteurs de fragilité, alors qu’il suffit de lire les documents de l’Agence européenne pour apercevoir que les sujets décédés après vaccination étaient initialement en parfaite santé : tout un chacun, quoi. Il est donc extrêmement modéré de soutenir qu’à l’heure actuelle, sur la base des données « incomplètes » mais disponibles, le risque lié au vaccin peut être mille fois plus élevé que le risque de la grippe. D’autre part et au contraire de ce que soutient comme prévu l’administration sanitaire, les données de la pharmacovigilance après commercialisation sont loin d’être rassurantes, compte tenu de la sous-notification habituellement massive (moins de 1% des accidents notifiés), délibérément exacerbée en l’espèce par les autorités qui s’appliquent à créer un sanitairement correct visant à dissuader les vaccinateurs de notifier (voir ici). On a connu exactement la même situation avec le vaccin contre l’hépatite B – avec les résultats que l’on sait…"

Bon, là encore les articles dénichés font froid dans le dos, d'autant que ceux-ci s'appuient sur des constats et des études que ni les gouvèrnements ni les pharmaceutiques ne semblent prendre en considération.


Source :
Suivi de pharmacovigilance des vaccins grippaux A (H1N1), Afssaps - 17 décembre 2009

Données AFP

Les OGM peuvent t-il être dangeureux

Pandemrix le vaccin 1000 fois plus dangeureux que

Friday, September 24, 2010

Julien Dray : un petit air de Woerth?

Lien vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=wKle9mF8G4g&feature=player_embedded

Julien Dray, Master en Sciences économiques, membre du parti socialiste, un des fondateurs du mouvement SOS Racisme. Il a un mandat en ce moment de vice-président du conseil régional d'Île-de-France chargé de la culture.
Dans les années 90, Il a était entendu dans l'affaire de la MNEF concernant des emplois fictifs et un enrichissement personnel de ses dirigeants.
Il a récemment fait l'objet d'un "rappel à la loi" quand au fait d'avoir utilisé un chèque de l'association des parrains de SOS racisme pour s'offrir une montre à 7000 euros.

Malgré le fait d'être incollable sur les montres dont le prix dépasse les 150,000 euros et de porter des montres dont la valeur fait au moins 7000 euros, Julien Dray nous rappelle au micro d'Europe 1 :
"Moi, je vis dans le 20ème arrondissement dans un quartier populaire, je roule en Clio, ma femme a une voiture depuis 11 ans, je vais toujours au même endroit en vacances à Vallauris dans aucun endroit exotique et tout ceux qui me connaissent savent, me disent souvent que je suis plutôt mal habillé."

Sunday, September 5, 2010

SIDA : Luc Montagnier "On peut se débarrasser du SIDA naturellement, sans médicaments"

Lien vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xbru8n_luc-montagnier-retourne-sa-veste_news

Interview de Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour sa découverte du virus agent du SIDA.  

Transcription de l'interview :

Brent Leung : Vous avez parlé du stress oxydatif plus tôt, est-ce que traiter le stress oxydatif est l'une des meilleures façons de s'occuper de l'épidémie africaine du SIDA?

Luc Montagnier : Je crois que c'est une des façons de l'aborder. Pour diminuer le taux de transmission, parce que je crois que le VIH, on peut y être exposé plusieurs fois sans être infecté de façon chronique. Notre système immunitaire se débarrassera du virus en quelques semaines, si vous avez un bon système immunitaire. Et c'est cela aussi le problème des africains. Leur nourriture n'est pas équilibrée, ils sont dans un stress oxydatif, même s'ils ne sont pas infectés par le VIH. Donc leur système immunitaire fonctionne déjà pas bien. Donc il est prédisposé, il peut permettre au VIH d'entrer et de persister. Donc il y a plusieurs solutions qui ne sont pas le vaccin, le mot magique, le vaccin. De nombreuses solutions pour réduire la transmission juste par de simples mesures de nutrition, en donnant les bons oxydants, des mesures d'hygiènes et en combattant les autres infections. Les mesures ne sont pas spectaculaires mais elles peuvent réduire très bien l'épidémie aux niveaux auxquels ils sont dans les pays occidentaux.

Brent Leung : Si vous avez un bon système immunitaire, alors votre corps peut naturellement se débarasser du VIH?

Luc Montagnier : Yes.

Brent Leung : Pensez-vous que nous devons avoir plus d'insistance pour les antioxydants, et des choses de cette nature en Afrique, plutôt que les antirétroviraux.

Luc Montagnier : Nous devons insister vers plus de combinaison de mesures : antioxydants, conseil en nutrition, nutritions, lutter contre les autres infections : la malaria, la tuberculose, les parasites, les champignons, les vers, l'éducation bien sûr, l'hygiène génitale pour les femmes et les hommes. Des mesures très simples qui ne sont pas très coûteuses mais qui peuvent faire beaucoup. Et en fait je m'inquiète de nombreuses et spectaculaires actions pour des fonds globaux, pour acheter des médicaments etc; et Bills Gates etc, pour un vaccin ... Mais vous savez, ces genres de mesure ne sont pas bien financées, pas du tout financées ou elles sont, cela dépend du gouvernement local de faire le choix pour ça. Mais les gouvernements locaux prennent leurs conseils de conseillers scientifiques des diverses institutions et ils ne reçoivent pas ce genre de conseil très souvent.

Brent Leung : Il n'y a pas d'argent à se faire dans la nutrition, c'est ça? Il n'y a pas de profit à faire.

Luc Montagnier : Oui, il n'y a pas de profit à en tirer. L'eau est importante. L'eau est la clé.

Brent Leung : A présent une chose que vous avez dites, vous étiez entrain de parler du fait que si vous avez un système immunitaire solide, il est possible de se débarrasser du VIH / SIDA naturellement. Si vous prenez un africain pauvre qui a été infecté et vous renforcez leurs systèmes immunitaires, est-il possible pour eux de s'en débarrasser?

Luc Montagnier : Je le pense.

Brent Leung : C'est important.

Luc Montagnier : C'est une connaissance importante qui est complètement négligée. Les gens pensent toujours aux médicaments et aux vaccins. Donc ceci est un message qui peut être différent de ce que avez entendu précédemment, non?

Wednesday, August 25, 2010

Chomsky, sur la propagande et ses différentes formes


Première partie: http://www.dailymotion.com/video/xdiesl_noam-chomsky-31-mai-2010-1-2_news
Seconde partie : http://www.dailymotion.com/video/xdik81_noam-chomsky-31-mai-2010-22_news

Noam Chomsky, linguiste et philosophe juif-américain qui recherche à l'université du MIT, a été interviewé par le journaliste Taddeï lors de son passage en France.

Les sujets abordes sont : Israël, Palestine, l'auto-critique, le génocide américain, Haiti, le secret défense, l'autocensure des médias occidentaux, le politiquement correct, la liberté d'expression, l'holocauste, l'anti-racisme français.

Quelques citations :

 « Cela fait 30 ans qu’Israël arraisonne des navires dans les eaux internationales (…) assassine des gens, les kidnappe, les enlève pour les mettre en prison en Israël pendant parfois 10 ans.   »

« Le blocus criminel de Gaza a pour objectif de maintenir les gens à niveau de subsistance, pour ne pas mourir en masse, car ça serait terrible pour les relations publiques d’Israël. On leur permet seulement de survivre et pas de manière descente. »

« Ils (les leaders politique israéliens) ont l’impression que tant que les USA les soutiennent, les israeliens pourront faire n’importe quoi. »

« Les USA et Israel de manière unilatérale ont bloqué la solution politique du conflit Israel Palestine alors qu’il y a un consensus complet sur la manière de résoudre la crise. »

« (a propos de l'élection du Hamas) Israël a punis la population palestienne d’avoir voté de la mauvaise manière dans une élection libre. »

« Les êtres humaines sont responsables des conséquences prévisibles de leurs actions. Je ne peux pas beaucoup influer sur l’invasion Russe en Tchécoslovaquie mais je peux influer sur l’invasion américaine du Vietnam et du Nicaragua. Et c’est là que je vais concentrer mes efforts de telle manière que vos efforts devraient se concentrer sur ce qui se passe en France. On peut parler des crimes de quelqu’un d’autre et ne pas intervenir mais dans les cas des crimes de la France, vous pouvez intervenir et faire quelque chose. »

« Dans un pays libre, nous sommes beaucoup plus responsables de l’action d’un gouvernement que les soviétiques l’étaient pour l’action de leur pays parce qu’il n’y avait pas grand-chose qu’ils pouvaient faire à cet égard. »

"les pères fondateurs des USA savaient tres bien ce qu'ils faisaient. ils parlaient de la nécessité d'exterminer la population indo-américaine pour leur propre bien et c'est ce qu ils ont fait."

"Il y a eu un grand tremblement de terre a haiti il y a 2, 3 mois. 200 000, 300 000 personnes sont mortes. Pourquoi cette catastrophe? il y a eu des séismes ailleurs. Il y a un certain nombre de raison et une grande responsabilité appartient aux USA et à la France. Haiti était la collonie française la plus riche, elle a énormément contribué à la prospérité française. En 1789 au moment de la révolution, Haiti produisait la plus grande partie du cotton mondial, c'est à dire le lit même de la révolution industrielle. Je crois que c'était de l'ordre de 70% su sucre et de beaucoup d'autres récoltes. Et la France a détruit le pays, l'a transformé en régime de plantation. Les haïtiens ont voulu se libérer. Ils ont réussi après une guerre extrêment brutale et la France, à ce moment là, a imposé une indemnité très importante pour ce crime d'avoir acquis leur liberté."

"Les intellectuels, les centres de pouvoir cherchent à se protéger de leur propre population en gardant le secret sur leur actions parce qu'ils savent que leur population ne l'accepterait pas s'ils étaient au courant."

"Tadei: Pourquoi en tant qu'animateur, je relayerais une propagande sans que personne ne m'en donne l'ordre?
Chomsky: La réponse à cette question a été donnée par George Orwell. Tout le monde a lu la ferme des animaux, cette grand satire de la dictature. Mais peu de gens lisent l'introduction parce qu'elle n'a pas été publiée. Dans cette introduction, il dit "il ne faudrait pas trop s'attribuer des prix de vertues quand nous condamnons la dicdature car l'Angleterre Libre n'est pas si différente. Les mauvaises idées peuvent être réprimées sans moyen direct" et il a décrit de manière brève mais précise, les 2 manières de s'y prendre : d'abord la presse est détenue par des plutocrates qui ont un intérêt à ce que certaines idées ne soient pas exploitées. Ce qui est encore plus significatif, c'est une bonne éducation. Si on est bien éduqué dans les meilleures écoles et bien on vous a inculqué cette conception qu'il y a une certaine manière de réfléchir et de s'y prendre. Et je crois qu'il a raison, il y a des centres de pouvoir qui contrôlent la répartition de l'information et qui  filtrent ce qu'ils sont prêt à laisser entendre par la population et laisse de côté ce qu'ils ne veulent pas laisser et connaître. Ce n'est pas une conspiration, c'est un processus de marché normal. Et il y a des gens comme nous, les classes éduquées qui ont été dans les bonnes écoles, qui ont eu un bon enseignement et qui ont été endoctrinés à ne pas voir certaines choses. C'est ce qu'on peut appeler l'auto refoulement, d'une ignorance délibérée, parfois consciemment parfois inconsciemment, nous filtrons ce que nous voulons pas savoir car ça nous met mal à l'aise et nous présentons une vision du monde qui correspond aux intérêt des pouvoirs en place et des privilèges des classes privilégiées. C'est comme ca que l'histoire fonctionne depuis le début, ça prend différentes formes certes, mais dans une société libre, cela marche de la manière que j'ai décrite. Il n'y a pas à être surpris que la préface d'Orwell n'a jamais été publiée."

"J'ai signe une pétition pour la liberté d'expression (a propos de la pétition pour la liberté d'expression de Faurisson), j'en ai signe des milliers pour les dissidents iraniens (...) je crois que les gens ont droit a la liberte d expression. Tres souvent, on signe des petitions pour des gens qui sont peu ragoutants, des gens qui nient la liberté d'expression, qui sont intolérants et intolérables. Evidemment, on ne va pas signer des petitions pour ces gens la. Mais ça, ça revient aux lumières. On a fait une déclaration importante la dessus. si on croit a la liberté d'expression, il faut l'attribuer a ceux qu'on deteste, staline aussi. (...) En France, il n'y a pas vraiment de conception de la liberte d expression. (...) Ceux qui m'accuse de falsification de l'histoire concernant les chambres a gaz alors cette idée que quelqu'un devrait être déféré devant le tribunal pour avoir falsifie l'histoire vient de la vieille union soviétique. C'est la doctrine stalinienne qui dit que l'état sacré a le droit de déterminer la vérité historique et le droit de punir ceux qui ne l'accepte pas. (...) Il y a si peu de compréhension de la liberté d'expression en France (...) Cette idée de punir quelqu'un parce que l'état dit qu'il s'oppose à des faits historiques, c'est inimaginable, c'est le genre de chose qui ne peut se produire que dans les états totalitaires. En fait c'est une insulte à la mémoire des victimes de l'holocauste. On n'honore pas ses victimes en adoptant le principe de leurs assassins. C'est un relook de la doctrine stalinienne."

"(Concernant l'antiracisme en France qui gouverne la limite de la liberté d'expression)
Ce n'est pas comme ça que l'on va arrêter le racisme, en punissant des gens qui expriment un point de vue raciste. Dans les grands périodiques, il y a des intellectuels aux USA qui ont nié les génocides par exemple l'invasion européenne aux Amériques et le génocide qui a suivi. Est ce que la manière de s'y prendre est de mettre les gens en prison? Non. La manière de s'y prendre s'est d'éduquer les gens, de leur expliquer que ce n'est pas ce qui s'est passé. Leur expliquer ce qui s'est passé. Donc en fait ceux qui nient l'holocauste, il y a beaucoup de gens aux USA qui nient l'holocauste, des gens qui ont des positions prestigieuses parfois, qui enseignent dans les universités, instituts et personne n'y accorde la moindre attention et ils n'ont aucune influence. Maintenant, si on les poursuit en justice, tout le monde en parlerait et ça leur donnerait une influence. Donc aux USA, les gens connaissent Faurisson, mais ils ne connaissent pas les révisionistes américains. C'est une bonne réaction, il suffit de les ignorer. Si on veut leur faire beaucoup de publicité, si on veut qu'ils soient connus, il faut les traiter de la manière dont ils sont traités en France. Ce n'est pas la bonne manière de s'y prendre."

Sunday, August 15, 2010

Grippe A: Effets indésirables relevés


Grippe H1N1: 5 millions de personnes vaccinées, 2600 effets indésirables

PARIS — Quelque 5 millions de personnes ont été vaccinées contre la grippe H1N1 entre le 21 octobre, début de la campagne de vaccination, et le 27 décembre, avec quelque 2.600 effets indésirables et deux décès pour lesquels un lien avec le vaccin n'a pas été retenu, selon l'Afssaps.

Les vaccins administrés sont essentiellement le Pandemrix (GSK, avec adjuvant, 3,7 millions de doses) et le Panenza (Sanofi-Pasteur, sans adjuvant, 1,4 million de doses), rappelle l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) dans son suivi hebdomadaire de pharmacovigilance.

Le Focetria (Novartis, avec adjuvant) et le Celvapan (Baxter, produit par culture cellulaire et sans adjuvant), ont été administrés à quelques milliers de doses.

Pour le Pandemrix, 2.390 effets indésirables (6,4 pour 10.000) ont été signalés depuis le début de la campagne, dont 83 graves (27 au cours de la dernière semaine). De ces 27, 12 cas graves sont en lien avec le vaccin : crise d'épilepsie chez un patient ayant des antécédents, problèmes respiratoires chez un patient obèse, malaise et crises convulsives chez un adolescent de 15 ans, 2 cas de gêne respiratoire chez des enfants...

Parmi les observations graves pour lesquelles un lien avec le vaccin n'a pas été retenu, deux décès sont intervenus chez des patients âgés souffrant l'un de "lourds antécédents cardiovasculaires" et l'autre d'antécédents neurologiques avec complications infectieuses.

Les autres effets secondaires étaient d'intensité bénigne à modérée : douleurs ou inflammations au site d'injection, fourmillements ou picotements, nausées, fièvre ou maux de tête...

Pour le Panenza, 258 effets indésirables (1,8 pour 10.000) ont été notifiés depuis le début de la vaccination avec ce vaccin. 11 des 31 cas graves sont intervenus depuis la dernière semaine, notamment chez des femmes enceintes, avec 3 morts intra-utérines (8 tous vaccins confondus depuis le début de la campagne). Des investigations sont en cours.

Cinq cas de fausse couche spontanée ont aussi été signalés depuis le début de la campagne, dont un survenu 1h30 après vaccination avec le Focetria, suite à un choc anaphylactique.

L'Afssaps rappelle la fréquence relative des morts intra-utérines et des fausses couches et estime qu'"aucune donnée ne permet de relier ces événements à la vaccination".

Au total, pour l'Afssaps, l'analyse des signalements "ne remet pas en cause la balance bénéfice-risque des vaccins".


Source: http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jztlTUZYTwwxFu-7r_fLiYvFz0cQ

Grippe A: Docteur Marc Girard sur les conflits d'intérêts dans le domaine de la santé

Le docteur Girard tente dans une vidéo posté sur youtube de nous expliquer pourquoi il y aurait de graves lacunse dans l'information délivrée aux citoyens sur sa santé, essentiellement dû aux conflits d'intérêts entre les professions de la médecine (professeurs de médecine, docteurs etc) et les sociétés pharmaceutiques. Avant d'en débattre, je vous laisse vous faire votre avis en visionnant cet interview:

Source: http://www.youtube.com/watch?v=3oC6dO37UHE


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Avant de débuter, je dois dire qu'il existe des gens sur internet qui critique sa façon de décrire ce système. Je ne porterais pas de critique sur ces gens, et vous propose au contraire de faire vos propres recherches pour ainsi avoir un avis contradictoire. Il vous sera alors aisé de mieux appréhender le docteur Marc Girard.

Il est clair que les dires de ce docteur sont quelques parts évident et en même temps accablant pour la Médecine. Eux comme nous bénéficions de petits ou grands avantages dû à nos professions respectives. Mais il y a une différence entre un médecin qui va se servir dans la pharmacie de son hôpital pour des besoins d'ordres privés (médicaments, compresses, seringue..) et celui qui représente la "voix de la médecine" en se prononçant publiquement devant les médias pour conseiller tel ou tel mode de thérapie.

Nous ne sommes pour la plupart pas médecin. Si notre médecin nous dit que nous avons besoin d'une cure de vitamines C, nous le croiront sur parole ne verrons aucun problème à suivre une petite cure de quelques mois tout au plus à peu de coûts. Mais lorsque celui-ci nous sollicite pour un vaccin dont aucun test crédible n'a été élaboré par les institutions publiques pour prouver qu'il apporte bien ce qu'il préconise (càd nous guérir ou prévenir) ou même qu'il n'est tout simplement pas dangereux pour notre santé, alors nous sommes en droit d'exiger des explications voir des sanctions. Après tout, un garagiste qui va vous conseiller de mettre un kit d'admission sur votre véhicule pour gagner de la puissance mais qui au final finit par vous exploser entre les mains, ce garagiste risque trés gros. Pourquoi le médecin qui vous conseil mal de manière consciente ne serait pas révoqué à vie de sa profession dont il a signé le serment d'Hippocrate ?

Dans un pays qui abandonne ses scientifiques voir même qui les castrent, il est facile de tomber dans la subversivité. Dés lors, quelle crédibilité reste t-il à la médecine, un des pilliers de notre société ?

Je pense que nous avons aujourd'hui la chance de pouvoir nous renseigner par nous même grâce à internet. Il devient de notre devoir à tous de partager nos connaissances et nos avis sur les questions qui nous touchent. Il est aussi de notre devoir de citoyen de connaitre et de dénoncer les dérives de notre système, surtout lorsque celui-ci perd complètement les pédales (voir les déclarations plus qu'alarmistes de la ministre Bachelot).

Qui sont donc ces personnes qui sont aux commandes de notre médecine nationale ? Qui sont donc ces personnes qui sont aux commandes de notre santé au niveau européen ? Et finalement qui sont donc ces personnes qui sont à la solde de compagnie pharmaceutique et qui ont participé à cette campagne de désinformation et de conflits d'intérêts concernant la grippe A ? Inutile de vous mettre l'eau à la bouche, voici quelques noms qui sont apparus récemment (Août 2010) dans les médias.

L'OMS publie sa liste d'experts

Mise à jour le jeudi 12 août 2010 à 6 h 48


Un employé de Sanofi-Pasteur surveille la production de vaccins destinés à la population française.
Photo: AFP/Thomas Coex
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé mercredi les noms des 15 experts de son comité d'urgence qui ont servi de conseillers durant toute la pandémie de grippe H1N1.
Jusqu'ici, seul le nom du président du comité, l'Australien John Mackenzie, était connu. L'OMS s'était engagée à publié cette liste secrète au terme de la pandémie de grippe, ce qui s'est concrétisé Lundi.

La liste révèle que ces experts sont pour la plupart des épidémiologistes originaires de tous les continents, du Chili aux États-Unis, en passant par le Sénégal ou encore la Chine.
Il appert que cinq d'entre eux ont entretenu des liens plus ou moins directs avec des pharmaceutiques. Ce sont :
  • Nancy Cox, une chercheuse américaine du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC), dont l'unité a reçu une aide de la Fédération internationale des producteurs et associations pharmaceutiques (IFPMA) pour des recherches sur des virus grippaux;
  • Arnold Monto, un professeur américain qui a été consultant sur les pandémies et grippes saisonnières pour des pharmaceutiques GlaxoSmithKline, Novartis, Roche, Baxter et Sanofi. M. Monto a déclaré avoir reçu une bourse de Sanofi pour des recherches cliniques sur des vaccins antigrippaux en 2007-2008;
  • John Wood, un expert britannique dont l'unité de l'Institut national sur les standards biologiques et les contrôles a déjà effectué des recherches pour l'IFMPA et des pharmaceutiques, dont Sanofi et Novartis;
  • Maria Zambon, du Centre britannique de protection sanitaire pour les infections, dont le laboratoire a également reçu de l'aide de plusieurs fabricants de vaccins tels Sanofi, Novartis, Baxter et GlaxoSmithKline;
  • Neil Ferguson, un professeur britannique qui a travaillé comme consultant pour Roche et GSK jusqu'en 2007.
L'OMS persiste et signe
L'OMS a toujours fermement démenti que ces conseillers aient pu être influencés par les société pharmaceutiques, comme l'ont avancé le British Medical Journal et la commission santé de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. Elle maintient que les situations révélées mercredi ne provoquent pas de conflits d'intérêts.
La pandémie de grippe H1N1, déclarée le 11 juin 2009, a été levée lundi, après avoir fait 18 500 morts dans le monde, dont 428 au Canada. En comparaison, la grippe saisonnière et ses complications peuvent entraîner la mort de 2000 à 8000 Canadiens par année.

Tuesday, July 27, 2010

Grippe A : Inquiétude du député Wodarg


Grippe A. L’implacable réquisitoire du député Wodarg

Président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg a obtenu le lancement d’une enquête sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de vaccination.

Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commisionn santé du Conseil de l’Europe une commision d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les états..

Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Nous sommes confrontés à un échec des grandes institutions nationales, chargées d’alerter sur les risques et d’y répondre au cas où une pandémie survient. En avril quand la première alarme est venue de Mexico j’ai été très surpris des chiffres qu’avançait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour justifier de la proclamation d’une pandémie. J’ai eu tout de suite des soupçons: les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type «grippal». En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé début mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. Car on a pu observer que des gens âgés de plus de 60 ans avaient déjà des anticorps. C’est-à-dire qu’ils avaient déjà été en contact avec des virus analogues. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs il n’y a pratiquement pas eu de personnes âgées de plus de 60 ans qui aient développé la maladie. C’est pourtant à celles là qu’on a recommandé de se faire vacciner rapidement.Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et de l’autre des faits très curieux. Comme par exemple la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ça n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. Il y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque années, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, «complétant» les vaccins servant à la grippe saisonnière.On ne l’a pas fait car on a préféré utiliser des matériaux vaccinales brevetés que les grands laboratoires avaient élaborées et fabriqué pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées

Quel danger ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Pour aller vite dans la mise à disposition des produits on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit: on a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela.Uniquement des raisons de marketing.

Comment a-t-on pu justifier de cela ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Pour comprendre il faut en revenir à l’épisode de la grippe aviaire de 2005 - 2006. C’est à cette occasion là qu’ont été définis les nouveaux plans internationaux destinés à faire face à une alarme pandémique. Ces plans ont été élaborés officiellement pour garantir une fabrication rapide de vaccins en cas d’alerte. Cela a donné lieu à une négociation entre les firmes pharmaceutiques et les Etats. D’un côté les labos s’engageaient à se ternir prêts à élaborer les préparations, de l’autre les Etats leur assuraient qu’ils leur achèteraient bien tout cela. Au terme de ce drôle de marché l’industrie pharmaceutique ne prenait aucun risque économique en s’engageant dans les nouvelles fabrications. Et elle était assurée de toucher le jack pot en cas de déclenchement d’une pandémie.

Vous contestez les diagnostics établis et la gravité, même potentielle, de la grippe A ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Oui, c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne provoque qu’un dixième des décés occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie.

Ce sont de très graves accusations que vous portez là. Comment un tel processus a-t-il été rendu possible au sein de l’OMS ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Un groupe de personnes à l’OMS est associé de manière très étroite à l’industrie pharmaceutique.

L’enquête du conseil de l’Europe va travailler aussi dans cette direction?

[*Wolfgang Wodarg.*] Nous voulons faire la lumière sur tout ce qui a pu rendre cette formidable opération d’intox. Nous voulons savoir qui a décidé, sur la base de quelles preuves scientifiques, et comment s’est exercé précisément l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la prise de décision. Et nous devons enfin présenter des revendications aux gouvernements. L’objectif de la commission d’enquête est qu’il n’y ait plus à l’avenir de fausses alertes de ce genre. Que la population puisse se reposer sur l’analyse, l’expertise des instituions publiques nationales et internationales. Celles ci sont aujourd’hui discréditées car des millions de personnes ont été vaccinés avec des produits présentant d’éventuelles risques pour leur santé. Cela n’était pas nécessaire. Tout cela a débouché aussi sur une gabegie d’argent public considérable.

Avez-vous des chiffres concrets sur l’ampleur de cette gabegie ?

[*Wolfgang Wodarg.*]

En Allemagne ce sont 700 millions d’euros. Mais il est très difficile de connaître les chiffres précis car on parle maintenant d’un côté de reventes de vaccins à des pays étrangers et surtout les firmes ne communiquent pas, au nom du principe du respect du «secret des affaires» les chiffres des contrats passés avec les Etats et les éventuelles clauses de dédommagements qui y figurent.

Le travail de « lobying » des labos sur les instituts de santé nationaux sera-t-il aussi traité par l’enquête du conseil de l’Europe ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Oui nous nous pencherons sur l’attitude des instituts comme le Robert Koch en Allemagne ou Pasteur en France qui aurait dû en réalité conseiller leurs gouvernements de façon critique. Dans certains pays des institutions l’ont fait. En Finlande ou en Pologne, par exemple, des voix critiques se sont élevées pour dire: « nous n’avons pas besoin de cela ».

La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants?

[*Wolgang Wodarg.*] Dans les ministères cela me paraît évident. Je ne peux pas m’expliquer comment des spécialistes , des gens très intelligents qui connaissent par coeur la problématique des maladies grippales, n’aient pas remarqué ce qui était en train de se produire.

Que s’est-il passé alors?

[*Wolfgang Wodarg.*] Sans aller jusqu’à la corruption directe qui j’en suis certain existe, il y a eu mille manières pour les labos d’exercer leur influence sur les décisions. J’ai pu constater très concrètement par exemple comment Klaus Stöhr qui était le chef du département épidémiologique de l’OMS à l’époque de la grippe aviaire, et qui donc a préparé les plans destinés à faire face à une pandémie que j’évoquais plus haut, était devenu entre temps un haut cadre de la société Novartis. Et des liens semblables existent entre Glaxo ou Baxter (etc) et des membres influents de l’OMS. Ces grandes firmes ont « leurs gens » dans les appareils et se débrouillent ensuite pour que les bonnes décisions politiques soient prises. C’est à dire celles qui leur permettent de pomper le maximum d’argent des contribuables.

Mais si votre enquête aboutit, ne sera-t-elle pas un appui pour les citoyens d’exiger de leurs gouvernements qu’ils demandent des comptes à ces grands groupes ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Oui, vous avez raison, c’est l’un des grands enjeux lié à cette enquête. Les états pourraient en effet se saisir de cela pour contester des contrats passés dans des conditions, disons, pas très propres. S’il peut être prouvé que c’est la prise d’influence des firmes qui a conduit au déclenchement du processus alors ils faudra les pousser à ce qu’ils demandent à être remboursés. Mais ça c’est uniquement le côté financier, il y a aussi le côté humain, celui des personnes qui ont été vaccinés avec des produits qui ont été insuffisamment testés.

Quel type de risque ont donc pris, sans qu’ils le sachent, ces gens en bonne santé en se faisant vacciner ?

[*Wolfgang Wodarg.*]

je le répète les vaccins ont été élaborés trop rapidement, certains adjuvants insuffisamment testés. Mais il y a plus grave. Le vaccin élaboré par la société Novartis a été produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui.

Pourquoi, je ne suis évidemment pas un spécialiste, mais comment peut-on prétendre faire un vaccin à partir de cellules malades ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Normalement on utilise des œufs de poules sur lesquels les virus sont cultivés. On a besoin en effet de travailler sur des cellules vivantes. Car les virus ne peuvent se multiplier que de cette manière et donc, par définition, les préparations antivirus qui vont avec. Mais ce procédé présente un gros défaut, il est lent, il faut beaucoup d’œufs. Et il est long et complexe sur le plan technique. Une autre technique au potentiel remarquable consiste à cultiver les virus sur des cellules vivantes dans des bio-réacteurs. Pour cela il faut des cellules qui croissent et se divisent très vite. C’est un peu le procédé que l’on utilise pour la culture du yaourt que l’on réalise d’ailleurs aussi dans un bio-réacteur. mais dans ce contexte la cellule a été tellement bouleversée dans son environnement et sa croissance qu’elle croit comme une cellule cancéreuse. Et c’est sur ces cellules au rendement très élevé que l’on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que durant le processus de fabrication du vaccin des restes de cellule cancéreuse demeurent dans la préparation. Comme cela se produit dans la fabrication classique avec les oeufs. On sait ainsi que dans le cas d’une vaccination de la grippe classique des effets secondaires peuvent apparaître chez les personnes qui sont allergiques à l’ovalbumine que l’on trouve dans le blanc d’oeuf.Il ne peut donc pas être exclu que des protéïnes, restes d’une cellule cancéreuse présentes dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, n’engendre une tumeur sur la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution il faudrait donc, avant qu’un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus.

Et cela n’a pas été fait ?

[*Wolfgang Wodarg.*] On ne l’a pas fait. L’AME ( Agence Européenne du Médicament), une institution sous la responsabilité du commissaire européen à l’économie, basée à Londres, qui donne les autorisations de mise sur le marché des vaccins en Europe, a donné son feu vert à la commercialisation de ce produit en arguant, en l’occurrence, que ce mode de fabrication ne constituait pas un risque « significatif». Cela a été très différemment apprécié par de nombreux spécialistes ici en Allemagne et une institution indépendante sur le médicament, qui ont au contraire alerté et fait part de leurs objections. J’ai pris ces avertissements au sérieux. J’ai étudié le dossier et suis intervenu dans le cadre de la commission santé du Bundestag dont j’étais alors membre pour que le vaccin ne soit pas utilisé en Allemagne. J’ai fait savoir que je n’étais certainement pas opposé à l’élaboration de vaccins avec cette technique. Mais qu’il fallait d’abord avoir une garantie totale d’innocuité. Le produit n’a donc pas été utilisé en Allemagne où le gouvernement a résilié le contrat avec novartis.

Quel est le nom de ce vaccin ?

[*Wolfgang Wogart.*] Obta flu.

Mais cela veut dire que dans d’autres pays européens comme la France le produit peut être commercialisé sans problème ?

[*Wolfgang Wogart.*] Oui , il a obtenu l’autorisation de l’AME et peut donc être utilisé partout dans l’Union Européenne.

Quelle alternative entendez vous faire avancer pour que l’on échappe à de nouveaux scandales de ce type?

[*Wolfgang Wogart.*] Il faudrait que l’OMS soit plus transparente, que l’on sache clairement qui décide et quelle type de relation existe entre les participants dans l’organisation. Il conviendrait aussi qu’elle soit au moins flanquée d’une chambre d’élue, capable de réagir de façon très critique où chacun puisse s’exprimer. Ce renforcement du contrôle par le public est indispensable.

N’est ce pas la question d’un autre système capable de traiter une question qui relève en fait d’un bien commun aux citoyens de toute la planète qui affleure?

[*Wolfgang Wodarg.*] Pouvons nous encore laisser la production de vaccins et la conduite de ces productions à des organisations dont l’objectif est de gagner le plus possible d’argent? Ou bien la production de vaccins n’est-elle pas quelque chose du domaine par excellence , que les Etats doivent contrôler et mettre en œuvre eux même? C’est la raison pour laquelle je pense qu’il faut abandonner le système des brevets sur les vaccins. C’est à dire la possibilité d’une monopolisation de la production de vaccin par un rand groupe. Car cette possibilité suppose que l’on sacrifie des milliers de vies humaines, simplement au nom du respect de ces droits monopolistiques. Vous avez raison , cette revendication là a pris en tout cas pour moi l’aspect de l’évidence.


Est-ce nécessaire de commenter cela ? Oui je le pense. D'ailleurs, la requête de ce député européen n'est pas restée lettre morte puisque le 8 Janvier 2010, le Conseil de l'Europe a décidé de lancer une enquête qui est déjà entrain de mettre à jour de graves disfonctionnements de l'OMS.

Toutefois, notre gouvernement qui a lui même sa part de responsabilité doit nous expliquer comment il a pu se faire berner à ce point par cette désinformation organisée. D'ailleurs, comment cette désinformation à l'échelle européenne a t-elle pu convaincre aussi profondément notre président de la République Nicolas Sarkozy, notre Ministre de la Santé Mme Bachelot, et tout une ribambelle de "spécialistes" qui nous ont affirmés pendant des mois qu'il fallait se faire vacciner car la pandémie avait atteint des niveaux jamais connu auparavant.

Il ne faut pas nous laisser berner par cette situation étrange. Nous risquons de voir un jour apparaitre comme une banale conclusion que les gouvernements auraient dû prendre des mesures plus contraignante pour ainsi éviter que le jour ou une vraie pandémie apparaisse, une hécatombe ne se produise.

La responsabilité de cette escroquerie à l'échelle mondiale commence à nous apparaitre plus claire. Mais trouverons nous un organisme ou un personnage suffisamment fort pour la mettre à jour ? Cela semble difficile. Hélas, nous et nous seul pouvons changer les choses si nous le souhaitons. Patience et réflexion, intelligence et suspicion, méfiance mais à l'unissons.
Un jour sonnera le glas de ces organisations qui auraient pour but de nous aider mais qui en réalité ne produisent que des résultats négatifs. (Enfin.. pas pour tout le monde).


Source: Grippe A et le député Wodarg http://www.humanite.fr/2010-01-07_Societe_Grippe-A-L-implacable-requisitoire-du-depute-Wodarg


Source: Le Conseil de l'Europe demande une enquête
http://news.doctissimo.fr/grippe-a-le-conseil-de-l-europe-va-lancer-une-enquete_article6398.html

Thursday, July 22, 2010

Grippe A : Discours de l'ancienne Ministre de la Santé finlandaise : Mme Rauni-Leena Luukanen-Kilde

Commençons cette fois-ci avec une démonstration de la manière dont la grippe A a été présentée aux Etats-Unis par le président Obama, puis une interview de l'ex Ministre de la Santé de Finlande Mme Rauni-Leena Luukanen-Kilde qui ose dire ce que personne ne reconnait encore aujourd'hui.

La question qu'on se pose aprés avoir vu ces extraits est de savoir si cette dame est quelqu'un qui a perdue toute raison gardée, ou si elle nous prévient d'un évènement pour le moins ambigue.

Regardez ces images et faites vous votre avis.


Après avoir vu ces images, n'importe quel citoyen pourrait se poser la question de savoir pourquoi nos gouvernement nous délivrerais un vaccin non seulement "pas sûr" mais potentiellement trés dangeureux ?

Un lien entre institution publique et institution privé pourrait t-il être au-dessus de l'intérêt collectif ? Ou est-ce que l'intérêt collectif serait de faire fructifier ses grosses sociétés afin de pérenniser notre économie?

N'oublions pas que l'industrie pharmaceutique est avec l'industrie pétrolière et l'armement l'une des plus puissantes au monde puisqu'elle a génèrée 416,856 milliards d’euros en 2008*


Nous serions en droit de demander, que dis-je, d'exiger des comptes de Mme Bachelot sur la rapidité de fabrication d'un vaccin qui nécessiterait 10 ans de recherches et de tests pour son homologuation sur une maladie qui n'existait pas avant 2009 (?!), sur les dépenses faites pour le distribuer en France, et sur la publicité cataclysmique réalisée en France pour la vaccination mais aussi à l'échelle Européenne (que nous verrons dans un autre article) et mondiale.

En parlant de cette promotion des vaccins, souvenait vous des discours de Mme Bachelot: "Des tas de français vont mourir!". Et bien voyez cette deuxième vidéo qui ébranlera à mon avis quelque peu vos convictions. Après quelques images sans intérêt, nous verrons le discours alarmistes et même particulièrement catastrophiste de notre Ministre de la Santé (Encore à l'heure actuelle le 22 Juillet 2010).



*(source: http://www.pharmactua.com/2009/le-mache-pharmaceutique-mondial-a-evolue-de-11-en-2008-la-france-reste-le-premier-marche-europeen/)


Tuesday, July 20, 2010

Grippe A : Signature d'un contrat entre Sanofi et le Mexique pour créer une usine à vaccin Pandémique

voilà pour commencer un premier article sur un juteux contrat signé par Nicolas Sarkozy et le président Mexicain Calderon. La grippe A avant même qu'elle ne soit découverte !
Notre président est t-il un visionnaire ou a t-il prévu l'imprévisible ?



Mexico City, Mexique - 9 mars 2009

Sanofi-aventis investit 100 millions € pour construire et installer une usine de vaccin grippal saisonnier et pandémique au Mexique

Le contrat a été signé à Mexico à l’occasion de la Visite d’Etat du Président Nicolas Sarkozy entre Sanofi, Birmex et l'Etat souverain du Mexique.

L’annonce a été faite au cours d’une cérémonie en présence de MM. Felipe Calderon, Président du Mexique et Nicolas Sarkozy, Président de la République Française, en visite officielle au Mexique.

La division vaccins du Groupe sanofi-aventis est représentée par Chris Viehbacher, directeur général de sanofi-aventis.
« Avec la construction de cette usine, sanofi-aventis est fier de contribuer au renforcement des infrastructures de santé du Mexique et tient à souligner l’engagement exemplaire envers la santé publique de ce pays, à travers son programme de vaccination contre la grippe et de préparation à la pandémie », a déclaré Chris Viehbacher. « Cet investissement démontre l’engagement local de sanofi-aventis pour la santé mondiale. Cette usine constituera un atout de santé publique, pour les Mexicains ainsi que pour l’Amérique Latine, dans le cadre de la préparation à la pandémie grippale ».
Selon les termes du contrat, sanofi pasteur produira le vaccin contre la grippe en collaboration avec Birmex, producteur national mexicain de vaccins. Ce dernier réalisera certaines étapes de la production et sera responsable de la distribution des vaccins contre la grippe sur les marchés publics au Mexique.
Le but est de produire jusqu’à 25 millions de doses annuelles de vaccin contre la grippe saisonnière pour le marché mexicain d’ici à 2013. Cette nouvelle usine de vaccin contre la grippe sera construite à Ocoyoacac, où sanofi aventis a déjà une activité industrielle.
La nouvelle usine de sanofi sera construite dans l’éventualité où une pandémie de grippe humaine vienne à être déclarée et une fois la souche de virus grippal pandémique identifiée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Peut t-on y voir un lien avec l'affaire Florence Cassez ? (Affaire de toute façon suspicieuse qui méritera notre intérêt dans un prochain article)

Pour revenir à notre affaire avec Sanofi, comment a t-on pu prévoir une pandémie et un vaccin sur une maladie n'existant pas encore ? Y a-t-il un parasitage entre pouvoir et intérêt privé ? Notre gouvernement (on peut dire Nos gouvernements) sont t-ils prêts à créer de toute pièce une maladie pour relancer une économie moribonde et générer des profits destinés à soutenir l'économie ?

Nous verrons cela dans de futurs articles.

Source: http://www.sanofi-aventis.com/presse/communiques/2009/ppc_24324.asp

Sunday, July 18, 2010

SOS Racisme

SOS racisme, quand on y pense, logiquement il nous vient l'image d'une association avec un but des plus louables, combattre le racisme. Seulement, en y creusant un petit peu, on peut se rendre compte du réel but de l'organisation.

Interview de Serge Malik, un arabe juif qui a été un des membres fondateurs de l'association avant d'en sortir écœuré.



Noms cités :

Jean-Louis Bianco, Eric Ghebali mais aussi :

Harlem Desir : L'image de SOS Racisme, condamné par la justice pour emploi fictif chez SOS Racisme où il touchait un salaire de 10000 francs (en 1986). Il a notamment soutenu le oui pour le traite constitutionnel européen.

Julien Dray : l'homme qui dénonce avec force le libéralisme mais qui vote par 2 fois, pour le traité de Maastricht (qu'il critiquera ensuite) et le traité constitutionnel européen qu'il voit comme une reprise des point de Maastricht qu'il avait critiqué, il a été inculpé dans l'affaire de la Mnef (emploi fictif et enrichissement personnel) et dans l'octroiement de prêt à son égard par les associations SOS Racisme.

Jacques Seguela : Publicitaire, homme du président Mitterand pour sa communication, il a aussi conseillé des "grands hommes" comme le président sénégalais, du Togo, du Gabon du Cameroun et d'Israel (Ehud Barak). Il a notamment insulté Eric Besson lorsqu'il est passé du côté de Sarkozy, mais 2 semaines après il appelle à voter Sarkozy également. Il a aussi prononcer la phrase "Si on n'a pas une Rolex à 50 ans, c'est qu'on a raté sa vie". Il a aussi qualifié Internet comme la plus grande saloperie qu'aient jamais inventé les hommes. Une nouvelle sur Internet avait permis de mettre à jour le fait que Julien Dray s'était octroyé un prêt de l'association SOS Racisme pour s'acheter une montre de luxe.

Jacques Attali, le GRAND visionnaire de notre monde moderne qui nous vend le modèle du néo-libéralisme à toutes les sauces, il a notamment été impliqué dans l'affaire de l'Angolagate.

Tuesday, June 15, 2010

Journaleux : Laurence Ferrari et Ahmadinejad


Ahmadinejad face à Laurence Ferrari
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Notre cerveau national, Laurence Ferrari, est allee en Iran pour interviewer le president iranien Ahmadinejad. Quand on voit l'interview, on sent bien qu'elle avait envie de lui mettre sous le nez tout ce qu'on entend dans nos medias (carricature de l'echange).

Ferrari : "Alors, on veut toujours rayer Israel de la carte?"
Ahmadinejad : "Ben non, chacun chez soit et tout le monde sera content."
Ferrari : "Donc ca confirme bien que vous voulez voir disparaitre Israel"
Ahmadinejad : "On ne veut la mort de personne et on ne pense pas que la guerre soit une solution."


Eh merde, pour un gars qui veut detruire Israel, comment on fait pour detruire Israel sans tuer les gens et sans guerre. Un truc que les dirigeants Israeliens et americains ne peuvent pas comprendre probablement hahah

Ferrari : "Alors cette bombe nucleaire, elle arrive quand?"
Ahmadinejad "Une bombe nucleaire? Pour quoi faire?"
Ferrari : "Allez Maaaaaaahmoud, tu sais bien, la dissuasion !"
Ahmadinejad : "Et avec une bombe quand il y en a 20,000 en face, on dissuade qui?"


Mais bon le meilleur de l'interview vient a la fin. Notre journaliste a la memoire selective interroge Ahmadinejad sur les manifestations qui ont eu lieu apres son election (transcription reel de l'echange).
"Il y a eu des centaines de d'arrestations, il y a eu des morts dans les manifestations"

"Si en France des individus descendent dans la rue, mettent le feu a des voitures, attaquent des immeubles, et troublent l'ordre publique, que fais l'etat francais?"

"Les gens ne sont pas emprisonnes quand ils viennent manifester en France"

"Ici non plus, personne n'est arrete pour manifester."

Ferrari : "Il y a eu des centaines de d'arrestations, il y a eu des morts dans les manifestations"

Ahmadinejad : "Si en France des individus descendent dans la rue, mettent le feu a des voitures, attaquent des immeubles, et troublent l'ordre publique, que fais l'etat francais?"

Ferrari : "Les gens ne sont pas emprisonnes quand ils viennent manifester en France"
Ahmadinejad : "Ici non plus, personne n'est arrete pour manifester."



A notre superbe cocorico journaliste de TF1, il faudrait lui rappeler le bilan des emeutes de 2005 en France. Des emeutes qui avaient bien commencer par des marches silencieuses qui l'etaient devenu un peu moins. Resultat, on a pas eu des centaines d'arrestations mais des milliers (2921 !) dont environ 600 personnes ecroues ! Pour les morts, il y en a aussi, 4 ! Malheureusement, Ferrari a eu un trou de memoire ... Dommage pour une "journaliste" d'avoir une memoire aussi selective.