Tuesday, July 27, 2010

Grippe A : Inquiétude du député Wodarg


Grippe A. L’implacable réquisitoire du député Wodarg

Président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg a obtenu le lancement d’une enquête sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de vaccination.

Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commisionn santé du Conseil de l’Europe une commision d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les états..

Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Nous sommes confrontés à un échec des grandes institutions nationales, chargées d’alerter sur les risques et d’y répondre au cas où une pandémie survient. En avril quand la première alarme est venue de Mexico j’ai été très surpris des chiffres qu’avançait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour justifier de la proclamation d’une pandémie. J’ai eu tout de suite des soupçons: les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type «grippal». En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé début mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. Car on a pu observer que des gens âgés de plus de 60 ans avaient déjà des anticorps. C’est-à-dire qu’ils avaient déjà été en contact avec des virus analogues. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs il n’y a pratiquement pas eu de personnes âgées de plus de 60 ans qui aient développé la maladie. C’est pourtant à celles là qu’on a recommandé de se faire vacciner rapidement.Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et de l’autre des faits très curieux. Comme par exemple la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ça n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. Il y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque années, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, «complétant» les vaccins servant à la grippe saisonnière.On ne l’a pas fait car on a préféré utiliser des matériaux vaccinales brevetés que les grands laboratoires avaient élaborées et fabriqué pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées

Quel danger ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Pour aller vite dans la mise à disposition des produits on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit: on a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela.Uniquement des raisons de marketing.

Comment a-t-on pu justifier de cela ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Pour comprendre il faut en revenir à l’épisode de la grippe aviaire de 2005 - 2006. C’est à cette occasion là qu’ont été définis les nouveaux plans internationaux destinés à faire face à une alarme pandémique. Ces plans ont été élaborés officiellement pour garantir une fabrication rapide de vaccins en cas d’alerte. Cela a donné lieu à une négociation entre les firmes pharmaceutiques et les Etats. D’un côté les labos s’engageaient à se ternir prêts à élaborer les préparations, de l’autre les Etats leur assuraient qu’ils leur achèteraient bien tout cela. Au terme de ce drôle de marché l’industrie pharmaceutique ne prenait aucun risque économique en s’engageant dans les nouvelles fabrications. Et elle était assurée de toucher le jack pot en cas de déclenchement d’une pandémie.

Vous contestez les diagnostics établis et la gravité, même potentielle, de la grippe A ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Oui, c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne provoque qu’un dixième des décés occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie.

Ce sont de très graves accusations que vous portez là. Comment un tel processus a-t-il été rendu possible au sein de l’OMS ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Un groupe de personnes à l’OMS est associé de manière très étroite à l’industrie pharmaceutique.

L’enquête du conseil de l’Europe va travailler aussi dans cette direction?

[*Wolfgang Wodarg.*] Nous voulons faire la lumière sur tout ce qui a pu rendre cette formidable opération d’intox. Nous voulons savoir qui a décidé, sur la base de quelles preuves scientifiques, et comment s’est exercé précisément l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la prise de décision. Et nous devons enfin présenter des revendications aux gouvernements. L’objectif de la commission d’enquête est qu’il n’y ait plus à l’avenir de fausses alertes de ce genre. Que la population puisse se reposer sur l’analyse, l’expertise des instituions publiques nationales et internationales. Celles ci sont aujourd’hui discréditées car des millions de personnes ont été vaccinés avec des produits présentant d’éventuelles risques pour leur santé. Cela n’était pas nécessaire. Tout cela a débouché aussi sur une gabegie d’argent public considérable.

Avez-vous des chiffres concrets sur l’ampleur de cette gabegie ?

[*Wolfgang Wodarg.*]

En Allemagne ce sont 700 millions d’euros. Mais il est très difficile de connaître les chiffres précis car on parle maintenant d’un côté de reventes de vaccins à des pays étrangers et surtout les firmes ne communiquent pas, au nom du principe du respect du «secret des affaires» les chiffres des contrats passés avec les Etats et les éventuelles clauses de dédommagements qui y figurent.

Le travail de « lobying » des labos sur les instituts de santé nationaux sera-t-il aussi traité par l’enquête du conseil de l’Europe ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Oui nous nous pencherons sur l’attitude des instituts comme le Robert Koch en Allemagne ou Pasteur en France qui aurait dû en réalité conseiller leurs gouvernements de façon critique. Dans certains pays des institutions l’ont fait. En Finlande ou en Pologne, par exemple, des voix critiques se sont élevées pour dire: « nous n’avons pas besoin de cela ».

La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants?

[*Wolgang Wodarg.*] Dans les ministères cela me paraît évident. Je ne peux pas m’expliquer comment des spécialistes , des gens très intelligents qui connaissent par coeur la problématique des maladies grippales, n’aient pas remarqué ce qui était en train de se produire.

Que s’est-il passé alors?

[*Wolfgang Wodarg.*] Sans aller jusqu’à la corruption directe qui j’en suis certain existe, il y a eu mille manières pour les labos d’exercer leur influence sur les décisions. J’ai pu constater très concrètement par exemple comment Klaus Stöhr qui était le chef du département épidémiologique de l’OMS à l’époque de la grippe aviaire, et qui donc a préparé les plans destinés à faire face à une pandémie que j’évoquais plus haut, était devenu entre temps un haut cadre de la société Novartis. Et des liens semblables existent entre Glaxo ou Baxter (etc) et des membres influents de l’OMS. Ces grandes firmes ont « leurs gens » dans les appareils et se débrouillent ensuite pour que les bonnes décisions politiques soient prises. C’est à dire celles qui leur permettent de pomper le maximum d’argent des contribuables.

Mais si votre enquête aboutit, ne sera-t-elle pas un appui pour les citoyens d’exiger de leurs gouvernements qu’ils demandent des comptes à ces grands groupes ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Oui, vous avez raison, c’est l’un des grands enjeux lié à cette enquête. Les états pourraient en effet se saisir de cela pour contester des contrats passés dans des conditions, disons, pas très propres. S’il peut être prouvé que c’est la prise d’influence des firmes qui a conduit au déclenchement du processus alors ils faudra les pousser à ce qu’ils demandent à être remboursés. Mais ça c’est uniquement le côté financier, il y a aussi le côté humain, celui des personnes qui ont été vaccinés avec des produits qui ont été insuffisamment testés.

Quel type de risque ont donc pris, sans qu’ils le sachent, ces gens en bonne santé en se faisant vacciner ?

[*Wolfgang Wodarg.*]

je le répète les vaccins ont été élaborés trop rapidement, certains adjuvants insuffisamment testés. Mais il y a plus grave. Le vaccin élaboré par la société Novartis a été produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui.

Pourquoi, je ne suis évidemment pas un spécialiste, mais comment peut-on prétendre faire un vaccin à partir de cellules malades ?

[*Wolfgang Wodarg.*] Normalement on utilise des œufs de poules sur lesquels les virus sont cultivés. On a besoin en effet de travailler sur des cellules vivantes. Car les virus ne peuvent se multiplier que de cette manière et donc, par définition, les préparations antivirus qui vont avec. Mais ce procédé présente un gros défaut, il est lent, il faut beaucoup d’œufs. Et il est long et complexe sur le plan technique. Une autre technique au potentiel remarquable consiste à cultiver les virus sur des cellules vivantes dans des bio-réacteurs. Pour cela il faut des cellules qui croissent et se divisent très vite. C’est un peu le procédé que l’on utilise pour la culture du yaourt que l’on réalise d’ailleurs aussi dans un bio-réacteur. mais dans ce contexte la cellule a été tellement bouleversée dans son environnement et sa croissance qu’elle croit comme une cellule cancéreuse. Et c’est sur ces cellules au rendement très élevé que l’on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que durant le processus de fabrication du vaccin des restes de cellule cancéreuse demeurent dans la préparation. Comme cela se produit dans la fabrication classique avec les oeufs. On sait ainsi que dans le cas d’une vaccination de la grippe classique des effets secondaires peuvent apparaître chez les personnes qui sont allergiques à l’ovalbumine que l’on trouve dans le blanc d’oeuf.Il ne peut donc pas être exclu que des protéïnes, restes d’une cellule cancéreuse présentes dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, n’engendre une tumeur sur la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution il faudrait donc, avant qu’un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus.

Et cela n’a pas été fait ?

[*Wolfgang Wodarg.*] On ne l’a pas fait. L’AME ( Agence Européenne du Médicament), une institution sous la responsabilité du commissaire européen à l’économie, basée à Londres, qui donne les autorisations de mise sur le marché des vaccins en Europe, a donné son feu vert à la commercialisation de ce produit en arguant, en l’occurrence, que ce mode de fabrication ne constituait pas un risque « significatif». Cela a été très différemment apprécié par de nombreux spécialistes ici en Allemagne et une institution indépendante sur le médicament, qui ont au contraire alerté et fait part de leurs objections. J’ai pris ces avertissements au sérieux. J’ai étudié le dossier et suis intervenu dans le cadre de la commission santé du Bundestag dont j’étais alors membre pour que le vaccin ne soit pas utilisé en Allemagne. J’ai fait savoir que je n’étais certainement pas opposé à l’élaboration de vaccins avec cette technique. Mais qu’il fallait d’abord avoir une garantie totale d’innocuité. Le produit n’a donc pas été utilisé en Allemagne où le gouvernement a résilié le contrat avec novartis.

Quel est le nom de ce vaccin ?

[*Wolfgang Wogart.*] Obta flu.

Mais cela veut dire que dans d’autres pays européens comme la France le produit peut être commercialisé sans problème ?

[*Wolfgang Wogart.*] Oui , il a obtenu l’autorisation de l’AME et peut donc être utilisé partout dans l’Union Européenne.

Quelle alternative entendez vous faire avancer pour que l’on échappe à de nouveaux scandales de ce type?

[*Wolfgang Wogart.*] Il faudrait que l’OMS soit plus transparente, que l’on sache clairement qui décide et quelle type de relation existe entre les participants dans l’organisation. Il conviendrait aussi qu’elle soit au moins flanquée d’une chambre d’élue, capable de réagir de façon très critique où chacun puisse s’exprimer. Ce renforcement du contrôle par le public est indispensable.

N’est ce pas la question d’un autre système capable de traiter une question qui relève en fait d’un bien commun aux citoyens de toute la planète qui affleure?

[*Wolfgang Wodarg.*] Pouvons nous encore laisser la production de vaccins et la conduite de ces productions à des organisations dont l’objectif est de gagner le plus possible d’argent? Ou bien la production de vaccins n’est-elle pas quelque chose du domaine par excellence , que les Etats doivent contrôler et mettre en œuvre eux même? C’est la raison pour laquelle je pense qu’il faut abandonner le système des brevets sur les vaccins. C’est à dire la possibilité d’une monopolisation de la production de vaccin par un rand groupe. Car cette possibilité suppose que l’on sacrifie des milliers de vies humaines, simplement au nom du respect de ces droits monopolistiques. Vous avez raison , cette revendication là a pris en tout cas pour moi l’aspect de l’évidence.


Est-ce nécessaire de commenter cela ? Oui je le pense. D'ailleurs, la requête de ce député européen n'est pas restée lettre morte puisque le 8 Janvier 2010, le Conseil de l'Europe a décidé de lancer une enquête qui est déjà entrain de mettre à jour de graves disfonctionnements de l'OMS.

Toutefois, notre gouvernement qui a lui même sa part de responsabilité doit nous expliquer comment il a pu se faire berner à ce point par cette désinformation organisée. D'ailleurs, comment cette désinformation à l'échelle européenne a t-elle pu convaincre aussi profondément notre président de la République Nicolas Sarkozy, notre Ministre de la Santé Mme Bachelot, et tout une ribambelle de "spécialistes" qui nous ont affirmés pendant des mois qu'il fallait se faire vacciner car la pandémie avait atteint des niveaux jamais connu auparavant.

Il ne faut pas nous laisser berner par cette situation étrange. Nous risquons de voir un jour apparaitre comme une banale conclusion que les gouvernements auraient dû prendre des mesures plus contraignante pour ainsi éviter que le jour ou une vraie pandémie apparaisse, une hécatombe ne se produise.

La responsabilité de cette escroquerie à l'échelle mondiale commence à nous apparaitre plus claire. Mais trouverons nous un organisme ou un personnage suffisamment fort pour la mettre à jour ? Cela semble difficile. Hélas, nous et nous seul pouvons changer les choses si nous le souhaitons. Patience et réflexion, intelligence et suspicion, méfiance mais à l'unissons.
Un jour sonnera le glas de ces organisations qui auraient pour but de nous aider mais qui en réalité ne produisent que des résultats négatifs. (Enfin.. pas pour tout le monde).


Source: Grippe A et le député Wodarg http://www.humanite.fr/2010-01-07_Societe_Grippe-A-L-implacable-requisitoire-du-depute-Wodarg


Source: Le Conseil de l'Europe demande une enquête
http://news.doctissimo.fr/grippe-a-le-conseil-de-l-europe-va-lancer-une-enquete_article6398.html

Thursday, July 22, 2010

Grippe A : Discours de l'ancienne Ministre de la Santé finlandaise : Mme Rauni-Leena Luukanen-Kilde

Commençons cette fois-ci avec une démonstration de la manière dont la grippe A a été présentée aux Etats-Unis par le président Obama, puis une interview de l'ex Ministre de la Santé de Finlande Mme Rauni-Leena Luukanen-Kilde qui ose dire ce que personne ne reconnait encore aujourd'hui.

La question qu'on se pose aprés avoir vu ces extraits est de savoir si cette dame est quelqu'un qui a perdue toute raison gardée, ou si elle nous prévient d'un évènement pour le moins ambigue.

Regardez ces images et faites vous votre avis.


Après avoir vu ces images, n'importe quel citoyen pourrait se poser la question de savoir pourquoi nos gouvernement nous délivrerais un vaccin non seulement "pas sûr" mais potentiellement trés dangeureux ?

Un lien entre institution publique et institution privé pourrait t-il être au-dessus de l'intérêt collectif ? Ou est-ce que l'intérêt collectif serait de faire fructifier ses grosses sociétés afin de pérenniser notre économie?

N'oublions pas que l'industrie pharmaceutique est avec l'industrie pétrolière et l'armement l'une des plus puissantes au monde puisqu'elle a génèrée 416,856 milliards d’euros en 2008*


Nous serions en droit de demander, que dis-je, d'exiger des comptes de Mme Bachelot sur la rapidité de fabrication d'un vaccin qui nécessiterait 10 ans de recherches et de tests pour son homologuation sur une maladie qui n'existait pas avant 2009 (?!), sur les dépenses faites pour le distribuer en France, et sur la publicité cataclysmique réalisée en France pour la vaccination mais aussi à l'échelle Européenne (que nous verrons dans un autre article) et mondiale.

En parlant de cette promotion des vaccins, souvenait vous des discours de Mme Bachelot: "Des tas de français vont mourir!". Et bien voyez cette deuxième vidéo qui ébranlera à mon avis quelque peu vos convictions. Après quelques images sans intérêt, nous verrons le discours alarmistes et même particulièrement catastrophiste de notre Ministre de la Santé (Encore à l'heure actuelle le 22 Juillet 2010).



*(source: http://www.pharmactua.com/2009/le-mache-pharmaceutique-mondial-a-evolue-de-11-en-2008-la-france-reste-le-premier-marche-europeen/)


Tuesday, July 20, 2010

Grippe A : Signature d'un contrat entre Sanofi et le Mexique pour créer une usine à vaccin Pandémique

voilà pour commencer un premier article sur un juteux contrat signé par Nicolas Sarkozy et le président Mexicain Calderon. La grippe A avant même qu'elle ne soit découverte !
Notre président est t-il un visionnaire ou a t-il prévu l'imprévisible ?



Mexico City, Mexique - 9 mars 2009

Sanofi-aventis investit 100 millions € pour construire et installer une usine de vaccin grippal saisonnier et pandémique au Mexique

Le contrat a été signé à Mexico à l’occasion de la Visite d’Etat du Président Nicolas Sarkozy entre Sanofi, Birmex et l'Etat souverain du Mexique.

L’annonce a été faite au cours d’une cérémonie en présence de MM. Felipe Calderon, Président du Mexique et Nicolas Sarkozy, Président de la République Française, en visite officielle au Mexique.

La division vaccins du Groupe sanofi-aventis est représentée par Chris Viehbacher, directeur général de sanofi-aventis.
« Avec la construction de cette usine, sanofi-aventis est fier de contribuer au renforcement des infrastructures de santé du Mexique et tient à souligner l’engagement exemplaire envers la santé publique de ce pays, à travers son programme de vaccination contre la grippe et de préparation à la pandémie », a déclaré Chris Viehbacher. « Cet investissement démontre l’engagement local de sanofi-aventis pour la santé mondiale. Cette usine constituera un atout de santé publique, pour les Mexicains ainsi que pour l’Amérique Latine, dans le cadre de la préparation à la pandémie grippale ».
Selon les termes du contrat, sanofi pasteur produira le vaccin contre la grippe en collaboration avec Birmex, producteur national mexicain de vaccins. Ce dernier réalisera certaines étapes de la production et sera responsable de la distribution des vaccins contre la grippe sur les marchés publics au Mexique.
Le but est de produire jusqu’à 25 millions de doses annuelles de vaccin contre la grippe saisonnière pour le marché mexicain d’ici à 2013. Cette nouvelle usine de vaccin contre la grippe sera construite à Ocoyoacac, où sanofi aventis a déjà une activité industrielle.
La nouvelle usine de sanofi sera construite dans l’éventualité où une pandémie de grippe humaine vienne à être déclarée et une fois la souche de virus grippal pandémique identifiée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Peut t-on y voir un lien avec l'affaire Florence Cassez ? (Affaire de toute façon suspicieuse qui méritera notre intérêt dans un prochain article)

Pour revenir à notre affaire avec Sanofi, comment a t-on pu prévoir une pandémie et un vaccin sur une maladie n'existant pas encore ? Y a-t-il un parasitage entre pouvoir et intérêt privé ? Notre gouvernement (on peut dire Nos gouvernements) sont t-ils prêts à créer de toute pièce une maladie pour relancer une économie moribonde et générer des profits destinés à soutenir l'économie ?

Nous verrons cela dans de futurs articles.

Source: http://www.sanofi-aventis.com/presse/communiques/2009/ppc_24324.asp

Sunday, July 18, 2010

SOS Racisme

SOS racisme, quand on y pense, logiquement il nous vient l'image d'une association avec un but des plus louables, combattre le racisme. Seulement, en y creusant un petit peu, on peut se rendre compte du réel but de l'organisation.

Interview de Serge Malik, un arabe juif qui a été un des membres fondateurs de l'association avant d'en sortir écœuré.



Noms cités :

Jean-Louis Bianco, Eric Ghebali mais aussi :

Harlem Desir : L'image de SOS Racisme, condamné par la justice pour emploi fictif chez SOS Racisme où il touchait un salaire de 10000 francs (en 1986). Il a notamment soutenu le oui pour le traite constitutionnel européen.

Julien Dray : l'homme qui dénonce avec force le libéralisme mais qui vote par 2 fois, pour le traité de Maastricht (qu'il critiquera ensuite) et le traité constitutionnel européen qu'il voit comme une reprise des point de Maastricht qu'il avait critiqué, il a été inculpé dans l'affaire de la Mnef (emploi fictif et enrichissement personnel) et dans l'octroiement de prêt à son égard par les associations SOS Racisme.

Jacques Seguela : Publicitaire, homme du président Mitterand pour sa communication, il a aussi conseillé des "grands hommes" comme le président sénégalais, du Togo, du Gabon du Cameroun et d'Israel (Ehud Barak). Il a notamment insulté Eric Besson lorsqu'il est passé du côté de Sarkozy, mais 2 semaines après il appelle à voter Sarkozy également. Il a aussi prononcer la phrase "Si on n'a pas une Rolex à 50 ans, c'est qu'on a raté sa vie". Il a aussi qualifié Internet comme la plus grande saloperie qu'aient jamais inventé les hommes. Une nouvelle sur Internet avait permis de mettre à jour le fait que Julien Dray s'était octroyé un prêt de l'association SOS Racisme pour s'acheter une montre de luxe.

Jacques Attali, le GRAND visionnaire de notre monde moderne qui nous vend le modèle du néo-libéralisme à toutes les sauces, il a notamment été impliqué dans l'affaire de l'Angolagate.